Ne m'appelez pas Blanche-Neige !

Titre : Ne m'appelez pas Blanche-Neige !

Auteur : Gally Lauteur

Traducteur : /

Editeur : Hachette

Pas de collection particulière

Nombre de pages : 342

Résumé : 

Qui a dit que la vie était un conte de fées ? Lorsque votre père retrouve l'amour dans les bras de votre meilleure amie, difficile d'y croire. Sous le choc, Blanche, 18 ans, préfère s'enfuir dans la nuit parisienne, entraînée par de mystérieux fêtards rencontrés sur le réseaux social le plus populaire du moment. Si la magie devient virale, une princesse peut-elle s'en sortir avec pour seules armes : sa répartie et son téléphone ? Oserez-vous croquer cette pomme d'amour et découvrir le cœur des princes de votre entourage ?

J'avais entendu parler de ce livre à sa sortie, sans qu'il ne me tente particulièrement. Mais, quand une amie ( et oui, toujours la même ) l'a amené au lycée et qu'il a fait le tour des filles avec qui je traîne habituellement, j'ai sauté sur l'occasion et l'ai finalement lu.

Il y a quelque chose qui m'a beaucoup dérangée, tout au long de ma lecture, c'est le style de l'auteur. Certes, je veux bien reconnaître qu'au fil du temps et de mes lectures, je suis devenue de plus en plus exigeante sur ce point. Néanmoins, ce point m'a vraiment dérangée, j'ai vraiment eu du mal avec ça tout au long de ma lecture. J'ai trouvé le vocabulaire peu riche et étendu, le style répétitif et peu agréable à lire, la fréquence des points d'exclamation m'ont vraiment beaucoup agacée. De plus, les dialogues ( et même en général ) avaient un côté très artificiel, pas du tout vraisemblables, qui m'a aussi agacée.

Beaucoup d'éléments de l'intrigue m'ont vraiment paru improbables, complètement irréalistes. Certes, c'est une réécriture de contes de fées, donc tant qu'à faire mettons l'héroïne dans des situations dignes de contes de fées, mais en même temps, ça m'a vraiment énervée, j'aurais aimé une situation plus réaliste... Au final, tous ces éléments ont fait que je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire. Je ne me suis pas vraiment ennuyée, mais en même temps je ne suis pas du tout rentrée dans l'histoire, j'y suis restée totalement étrangère. Ce roman m'a laissée de glace.

Les personnages eux aussi m'ont agacée. Je n'ai pas réussi à m'attacher à eux ; ils m'ont tous paru très clichés, tout simplement. Clichés et peu approfondis... tout ce que je déteste. Blanche m'a exaspéré d'un bout à l'autre du roman, avec sa niaiserie. Quant aux autres personnages, n'en parlons même pas...

Une lecture qui d'un bout à l'autre m'aura déçue, ce n'est tout simplement pas le type de livres qu'il me faut...

1/5

Seuls au monde, tome 2 : Un ciel en feu

Titre : Un ciel en feu
Tome 2 de la série Seuls au monde
Auteur : Emmy Laybourne
Traducteur : Christophe Rosson
Editeur : Hachette
Pas de collection particulière
Nombre de pages : 284
Résumé :
« Ils sont quatorze, ils ont entre cinq et dix-sept ans, et ils se sont réfugiés dans un centre commercial pour échapper à une catastrophe écologique. Ils ont appris à s’organiser pour rester en vie. Mais cette solution n’est pas éternelle. Et, le douzième jour, ils ont décidé de se séparer. Alors que Dean a préféré rester dans le magasin avec Astrid et trois autres enfants, son frère Alex a décidé de risquer le tout pour le tout. Il part avec le reste de la bande. Leur but : atteindre l’aéroport de Denver avant le départ du dernier avion, tenter de retrouver leurs parents, et laisser cet enfer derrière eux. Mais les choses ne se passent pas comme prévu. Et ces deux semaines de cauchemar n’étaient en fait qu’un avant-goût de l’horreur tapie au-dehors… »

Cela faisait une éternité que la série était dans ma whish-list, et, grâce à une amie qui m'a prêté le tome 1, j'ai enfin pu la découvrir. Après avoir beaucoup aimé le tome 1, je lui ai emprunté le tome 2 pour me replonger dans la trilogie.

J'ai retrouvé avec plaisir les personnages rencontrés dans le tome 1. Ils sont toujours aussi attachants, intéressants... les événements de ce tome 2 aident le lecteur a vraiment mieux les découvrir, à mieux voir comment leur caractère est développé, ce qui est toujours très intéressant. J'ai vraiment aimé le fait que l'auteur ne se repose pas sur ce qu'elle a déjà construit dans le tome 1 et réinvente ses personnages, approfondisse leur psychologie en les plaçant dans de nouvelles situations... Ce travail d'approfondissement est très agréable, c'est un bon point.

Le roman est aussi addictif que le premier tome. Encore une fois, les péripéties s'enchaînent à un rythme effréné, les retournements sont nombreux et bluffants... difficile de lâcher ce livre ! Et, comme pour le premier tome, cela est fait d'une telle manière que le lecteur ne se lasse pas, n'a pas une impression d'accumulation... le tout donne une lecture très agréable, il suffit de se laisser porter et on est immédiatement embarqué dans un monde, loin de ses propres soucis... Ce qui est sûr, c'est que la fin du roman est très, très intense, on est vraiment suspendu au livre... et la fin est très agréable à lire, elle fait du bien tout en laissant planer un peu de suspens...

On en apprend beaucoup plus sur l'univers dans ce second tome. Même si cet univers n'est certainement pas celui que je retiendrai pour son originalité, il reste vraiment bien construit et intéressant à découvrir, un bon point.

Le style de l'auteur est fluide, très agréable à lire, il joue aussi un rôle dans la facilité de lecture du roman. Encore une fois, il retranscrit bien les émotions de Dean et d'Alex. Pendant ma lecture du premier tome, j'avais néanmoins regretté que l'auteur ne distille pas une atmosphère plus angoissante... mais, pour ma plus grande joie, elle a pallié à ce défaut dans le second tome en installant des moments où la tension est vraiment incroyable, où l'angoisse est vraiment très présente... en gros, ce qui me manquait pour ma lecture du premier tome !

Un second tome que j'ai préféré au premier, les personnages sont plus creusés, l'intrigue est toujours aussi palpitante, et surtout, la plume de l'auteur qui remplit, enfin, les critères que j'attendais.

5/5

Comme un poisson hors de l'eau

Titre : Comme un poisson hors de l'eau
Auteur : Oscar Hijuelos
Traducteur : Maïca Sanconie
Editeur : Bayard
Collection Millézime
Nombre de pages : 384
Résumé :
Rico Fuentes est d'origine cubaine et vit à Harlem. Or, il a la peau claire, les yeux bleus et les cheveux blonds. Ce qui lui vaut d'être maltraité par son entourage. On dirait que sa propre mère ne lui pardonne pas de lui ressembler si peu, alors qu'elle sait que Rico tient son teint pâle de son arrière-grand-père irlandais. Quant à son père, abruti par son travail, il a tout juste la force, quand il rentre chez lui, de se servir un verre... voire plusieurs.
Au lycée, c'est pire. Rico y est persécuté par les autres élèves. Un jour, n'en pouvant plus, il craque et part rejoindre son ami Gilberto dans le Wisconsin.
Dans cette région où l'air est pur et où personne ne le connaît, Rico peut enfin envisager une nouvelle vie. Même si, en fuyant New York, il a tout abandonné, y compris ses rêves...

J'ai pris ce livre à la médiathèque un peu par hasard. Le titre m'avait interpellée, mais le résumé m'avait tout de suite paru moins charmeur. Pourtant, j'ai décidé de quand même le prendre, au cas où finalement, cela se révèle être une pépite. Et je l'ai enfin lu...

Comme je le redoutais un peu, je me suis ennuyée pendant une bonne partie ( voire toute ) ma lecture. Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire : l'intrigue ne m'a pas vraiment captivée ( comme ce que j'avais ressenti en lisant le résumé... ), je ne me sentais pas impliquée dans les histoires, pas concernée par les principaux conflits... Et puis, j'ai trouvé que durant ces longs chapitres, il ne se passait pas grand chose ( voire rien ), surtout dans les deux derniers tiers du roman ( le premier était quand même plus agité, même si je n'ai pas adhéré à l'histoire ). En résumé, je me suis ennuyée pour différentes raisons, et forcément, mon appréciation générale du roman n'est pas très bonne.
Cependant, même si je me suis ennuyée et n'ai pas apprécié forcément l'histoire, j'ai tout de même trouvé que ce livre était porteur d'un beau message concernant le racisme, la discrimination, et la différence. L'histoire reste atypique et fédératrice, et ça, cela reste un bon point.

Le style de l'auteur n'est pas non plus extraordinaire, en tout cas il ne m'a pas marquée. Cependant, il reste assez fluide, la lecture en est moins pénible... J'aurais aimé un style plus original, plus marqué, qui se distingue vraiment, malheureusement, ce n'était pas vraiment le cas... Tant pis.

Les personnages n'ont pas franchement remporté mon adhésion. Je ne m'y suis pas vraiment attachée, néanmoins je dois reconnaître qu'ils étaient plus bien construits et creusés, développés. Cependant, aucun d'entre eux n'a vraiment su gagner mon coeur, car ils étaient trop différents, trop éloignés, et parfois franchement antipathiques. Je pense que cela a joué dans ma sensation d'ennui tout au long du roman ; puisque je n'étais pas captivée par les personnages, je ne pouvais pas rentrer dans leur monde et essayer de les comprendre...

Un roman qui m'a un peu déçue ; j'avais voulu l'emprunter même si le résumé ne m'attirait pas forcément, en me disant que le titre m'avait tellement interpellée... finalement, je me suis beaucoup ennuyée, même si je dois reconnaître que le message est fort et porteur d'espoir !

4/5

Seuls au monde, tome 1 : Les rescapés du Greenway

Titre : Les rescapés du Greenway
Tome 1 de la série Seuls au monde
Auteur : Emmy Laybourne
Traducteur : Christophe Rosson
Editeur : Hachette
Pas de collection particulière
Nombre de pages : 343
Résumé :
« Ta mère te crie que tu vas louper ton bus. Tu ne prends ni le temps de la serrer dans tes bras ni de lui dire que tu l’aimes. Forcément… Tu dévales juste l’escalier et tu sprintes jusqu’à l’arrêt de bus. Sauf que, si c’est la toute dernière fois que tu dois voir ta mère, tu te mets à regretter de ne pas avoir pris le temps. Y compris de ne pas avoir raté le bus. Là, le mien arrivait, alors j’ai sprinté. »
La fin du monde débute comme un jour ordinaire où tout bascule soudain. Une tempête de grêle. Un accident. Des morts. À peine le temps de retrouver ses esprits qu'il faut déjà courir, chercher un abri. Dehors, la menace plane toujours, contaminant l'air. La grêle n'était qu'un début... Nous somme quatorze, pris au piège dans un centre commercial. À attendre une aide qui ne viendra jamais.
Nous sommes seuls au monde.

Vous savez depuis combien de temps ce livre est dans ma wish-list ? Depuis sa sortie. Oui, ça fait un bon paquet de temps. Du coup, quand une amie me l'a prêtée, j'étais vraiment extrêmement contente. Bon, j'ai tardé à finalement le lire, parce que d'autres lectures sont passées avant... mais c'est désormais chose réparée, j'ai enfin fini ce roman qui me tentait depuis si longtemps...

C'est vraiment un livre très, très addictif. Même s'il est quand même assez long ( pas trop non plus, plus de 300 pages ), il se dévore très, très rapidement. Les péripéties et les révélations s'enchaînent à un rythme effréné, sans non plus lasser le lecteur. Ainsi, ce dernier est complètement happé par l'histoire : il est impossible de s'en détacher ! En effet, l'action est présente et rend le livre particulièrement addictif, le tout s'enchaîne à un bon rythme. Pour conclure, le livre est addictif, l'intrigue bien construite et passionnante, que d'atouts qui donnent envie de lire la suite !

Ce livre présente une variété de personnages attachants, diversifiés et creusés. Tous les personnages paraissent humains, réels, vivants. Ils ont leurs qualités et leurs défauts, ils sont imparfaits mais attachants ( pour la grande majorité... ) et leur diversité donne du piment au livre. J'ai trouvé les jeunes enfants très bien construits en tant que personnages, ils avaient des réactions typiques d'enfants ( et croyez-moi, vu mon nombre de frères et soeurs, je m'y connais ) et c'était un plaisir de les suivre, même les plus agaçants ( Batiste et Chloé, ah ah ). Caroline, Henry, Max et Ulysses ont vraiment retenu mon attention. Chez les plus grands, Sahalia m'a beaucoup intéressée car il s'agit d'un personnage plein de contrastes, de facettes, réellement fascinante. Alex est très attachant, mais un peu plus plat, un peu plus l'archétype du gentil garçon. Josie est aussi plutôt intéressante. Jake est moins attachant, mais aussi intéressant à découvrir, tout comme Brayden qui est pour sa part pas attachant du tout... Quant à Niko, il est réellement intéressant à découvrir, et Astrid, elle, m'a fascinée, c'est sans doute mon personnage préféré... Dean, le narrateur, est comme son frère Alex un peu plus plat, le gentil garçon, mais le fait qu'on soit plongé dans son esprit ( et que j'ai des intérêts communs avec lui ! ) ont compensé.

L'univers de ce roman est intéressant, néanmoins j'ai trouvé la catastrophe et ses conséquences un peu clichés. L'enchaînement des événements m'a paru légèrement improbable, et, comme je le disais, l'univers reste très cliché, peu original, bien qu'il soit plutôt bien construit. Cela m'a légèrement dérangée, mais cela reste tout de même mineur.

Quant au style de l'auteur, il est très fluide, agréable à lire. Il retranscrit bien les émotions de Dean, néanmoins je ne l'a pas trouvé d'une richesse extraordinaire, et il ne réussit pas à créer une atmosphère vraiment efficace : ce que je veux dire, c'est que malgré son addictivité, il ne se dégage de ce livre une atmosphère un peu glaçante comme j'aurais aimé avoir...

Une lecture très agréable, aux multiples atouts qui confirment ce que je pensais : ce livre est une lecture idéale pour passer un bon moment ! Seuls bémols : l'univers un peu cliché et la plume de l'auteur qui ne remplit pas totalement toutes les caractéristiques que j'attendais.

4/5

Visages pâles

Titre : Visages pâles
Auteur : Claude Carré
Traducteur : /
Editeur : Auzou
Collection Virage
Nombre de pages : 163
Résumé :
Jane et Davy partent à la recherche de leur père, parti se cacher au fin fond des USA. Et le Road trip ne leur fait pas peur. Plongés dans le désert du Grand Canyon, les deux adolescents vont de pistes en pistes, rencontrant Motards, Indiens et futurs amis. Au fil du récit de Jane, 13 ans, le texte montre la volonté, l'amour familial qui guide ces ados à retrouver leur père partit depuis sept ans. 

J'avais gagné ce livre il y a assez longtemps en arrivant 2eme sur un un concours de nouvelles... Depuis, il traînait dans ma PAL, quand j'ai décidé de le sortir. J'avais envie de changer de registre de lecture, varier un peu, et ce titre m'attirait. J'ai donc commencé à le lire...

Ce court roman se lit vite, la plume de l'auteur est fluide et agréable à lire. Le lecteur est vraiment plongé dans la tête de Jane, dans ses pensées, ses sentiments. L'auteur parvient vraiment à saisir les émotions des personnages et particulièrement le regard de la narratrice de 13 ans, ce qui est très agréable et plaisant, et ajoute de l'intérêt à la lecture.

L'intrigue est courte mais dynamique, les péripéties s'enchaînent sans pour autant que cela fasse trop, le rythme est bien équilibré, de sorte que le lecteur ne s'ennuie pas. J'aime beaucoup les récits de road-trip, j'aime beaucoup les Etats-Unis, donc le cadre ne pouvait que me plaire ! Néanmoins, les révélations finales et certains éléments de l'intrigue m'ont un peu gênée, pas à cause de ce qui se passe en soit, mais parce que j'avais l'impression que l'auteur voulait surjouer la carte émotion dans son livre ( et aussi introduire un tout petit, petit peu d'amour ), ce dont il n'avait pas besoin... dommage, donc.

Les personnages sont plutôt attachants, bien qu'ils ne m'aient pas vraiment rendue folle d'eux. En effet, bien qu'ils soient globalement attachants et gentils, ils manquaient pour moi d'un peu de profondeur et surtout avaient des réactions qui tendaient à m'agacer légèrement... Néanmoins, cela restait très plaisant de les suivre dans leurs aventures, j'avais vraiment envie de savoir s'ils allaient retrouver ou non leur père, j'espérais avec eux...

En résumé, une courte lecture très plaisante, bien que quelques éléments m'aient un peu dérangée. Je garde un bon souvenir de cette lecture qui mérite d'être plus connue !

4/5

Red Rising, tome 2 : Golden Son

Titre : Golden Son
Tome 2 de la série Red Rising
Auteur : Pierce Brown
Traducteur : H. Lenoir
Editeur : Hachette
Pas de collection particulière
Nombre de pages : 502
Résumé :
Deux ans ont passé. Darrow n’est plus un Rouge risquant chaque jour sa vie dans les mines de Mars. Il est devenu le Faucheur, un Or dont la réputation n’est plus à faire. Rien ne lui résiste. Pourtant, au fond de lui, Darrow n’a pas oublié. Il n’a pas pardonné. Mais il commet une erreur fatale : il sous-estime son ennemi. En un éclair, Darrow perd tout. Au pied du mur, Darrow doit élaborer une nouvelle stratégie… Sinon, tous ses efforts, tous ses sacrifices auront été vains. Et Eo sera morte pour rien.

J'avais lu le premier tome de cette trilogie pendant les vacances d'été, au mois d'août, alors que j'étais en Bretagne... et il m'avait tout simplement bluffée. Je l'avais adoré au point tel qu'il a fini 4eme de ma liste de mes meilleures lectures de 2016. Aussi, quand j'ai ( enfin ) vu les tomes 2 et 3 à la médiathèque, je me suis ruée dessus comme une sauvage, pour les emporter en murmurant " Mes précieux..." d'un air extrêmement louche ( j'exagère à peine ). Et ça y est, j'ai lu le tome 2.

Encore une fois, la plume de Pierce Brown m'a emportée. Amenée dans son univers, jusqu'à ce que je referme le livre, le souffle coupé. Tel un virtuose,  l'auteur nous fait ressentir toutes les émotions des personnages, fait monter la tension au bon moment... la lecture est fluide et agréable, sans que la plume ne perde en richesse. En résumé, un véritable délice.

Encore une fois, l'intrigue est tout simplement incroyablement intense, addictive. Le lecteur est entraîné sans jamais se lasser, même au bout de 500 pages. Les retournements de situation sont légion, et pourtant, c'est tellement bien fait que jamais on se lasse... Le lecteur est tout simplement suspendu aux mots de l'auteur, et est entraîné dans une spirale étourdissante. Ce livre est un voyage sans égal, sans pareille, addictif, intense, bouleversant. Combien de fois ai-je pleuré ? Combien de fois me suis-je sentie admirative ? Impossible d'en tenir le compte, mais, en tout cas, ce roman est une lecture passionnante et bouleversante, à l'égal du tome 1.

Les personnages sont tout aussi complexes, creusés, attachants et époustouflants que dans le tome 1. Ils semblent terriblement réels, humains, tout aussi vivants que vous ou moi. Encore une fois, Darrow m'a totalement séduite, c'est un héros atypique, qui a des doutes, des remords, un comportement terriblement humain. Mustang a tout autant remporté mon adhésion, tout comme Roque et Victra. J'ai aussi adoré le fait qu'on apprenne à mieux connaître le Chacal, même s'il reste extrêmement antipathique...

J'avais une petite crainte sur ce tome 2, concernant l'univers du roman. En effet, j'avais adoré l'univers en général, mais ce qui avait surtout remporté mon adhésion, c'était l'Institut, et je craignais que, une fois sorti du cadre-là, cela soit un peu moins riche et plaisant. Mais pas du tout ; les références mythologiques sont poussées et détaillées, le monde est extrêmement creusé, fourni en détail, j'ai adoré le découvrir. J'ai été vraiment bluffée, une fois de plus, et j'ai tout simplement adoré.

Avec une telle fin, je ne pense pas pouvoir me retenir longtemps avant d'attaquer le tome 3... encore une fois, tout est réuni dans ce second tome, et cette trilogie confirme sa qualité.

Sunshine, tome 2 : Le réveil de Sunshine

Titre : Le réveil de Sunshine
Tome 2 de la série Sunshine
Auteur : Paige McKenzie
Traducteur : Brigitte Hébert
Editeur : Hachette
Collection Black Moon
Nombre de pages : 285
Résumé :
Sunshine a hérité de son père des dons bien particuliers : comme lui, elle peut aider les fantômes à quitter le monde des vivants. Mais les capacités de Sunshine sont immenses, hors du commun. Pour les comprendre et les contrôler, elle quitte sa vie de lycéenne, Ridgemont et son temps gris, pour le soleil du Mexique. Là où son père, qui l’avait abandonnée à la naissance, lui apprendra tout ce qu’elle doit savoir. Là où elle sera en sécurité. Du moins, c’est ce qu’elle croit…

J'avais lu le tome 1 l'année dernière, et j'avais dans l'ensemble bien aimé. Du coup, j'ai été contente de voir ce second tome, et du coup je l'ai emprunté. Je me suis dit que le lire après un Zola, ça ferait une petite coupure agréable, et je l'ai donc commencé.

Lors de ma lecture du premier tome, j'avais bien aimé l'atmosphère très flippante, bien qu'elle tende à disparaître dans la seconde partie du roman. Et du coup, j'avais envie de retrouver cette atmosphère. Sauf que ça n'a pas été le cas.
Dans ce second tome, je n'ai rien trouvé qui fasse vraiment peur, bien sûr il y a toujours des créatures qu'on aimerait pas croiser, mais ça n'a plus rien à voir avec ce qui me fait vraiment peur, moi, quand je lis ; cette atmosphère insidieuse, qui s'infiltre et fait vraiment, vraiment monter la tension. Du coup, évidemment, j'étais très déçue sur ce point-là, et, comme vous allez le voir, ça ne va pas aller en s'arrangeant...

En effet, j'ai trouvé l'intrigue trop riche en rebondissements. L'action est littéralement présente PARTOUT, il y en a toutes les pages, des révélations, des combats, des expériences, sans que jamais on prenne la peine de se poser. Tout va très vite, trop vite à mon goût... Ce qui m'a vraiment beaucoup déçue. J'aurais voulu que l'auteur prenne le temps, soit plus mesurée... mais non, tout est allé extrêmement vite. La dose d'événements condensée dans ce volume de moins de 300 pages est impressionnante ! Mais c'était trop, surtout qu'on perdait la dimension terrifiante, j'avais donc l'impression d'être face à une espèce de blockbuster américain version livre, bourrée d'action mais dénuée de profondeur, et ça, ça coince.
( ah oui. C'est quoi cette espèce de triangle amoureux que l'auteur nous installe ? ON EN A PAS BESOIN !!!!! ON A PAS BESOIN D'UN TRIANGLE AMOUREUX POUR FAIRE UNE BONNE HISTOIRE!!!!!! )
( ceci était l'expression de l'énervement )

Les personnages, que j'appréciais, notamment Sunshine, m'ont clairement insupportée, tous autant qu'ils sont, et surtout, surtout Sunshine. Je ne sais pas pourquoi, j'ai trouvé cette fille tout simplement insupportable. Je ne pouvais pas la voir en peinture, je n'ai pas réussi, une seule fois durant tout le livre, à me sentir proche d'elle, les autres personnages m'ont semblé plats, fades, inutiles, bref, sans intérêt... Forcément, j'ai fini par m'ennuyer, entre ce trop-plein d'action ( trop d'action tue l'action ) et ces personnages qui ne captaient pas, mais alors pas du tout, l'attention.

Dernier point, négatif encore hélas, le style de l'auteur. Lors de ma lecture du premier tome, je le trouvais fluide et agréable. Je crois que mes critères ont bien changé. En effet, j'ai trouvé ce style trop simpliste, un vocabulaire peu étendu et peu littéraire ( voire très peu ), un langage extrêmement oralisé et pas seulement lors des dialogues, le tout formant quelque chose qui n'incite pas à la lecture. J'avais l'impression d'être face à quelqu'un écrivant pour un public bien plus jeune... Après, je veux bien le reconnaître, je sortais d'un Zola, et la comparaison ne pouvait qu'être peu flatteuse...

Un second tome dont je sors très, très déçue. Pour moi, rien ne va plus, ce roman a perdu tous les atouts du premier tome. A mon avis, il y aura un troisième livre, mais je ne suis pas sûre de vouloir le lire...

1/5

L'Argent

Titre : L'Argent
Dix-huitième roman de la saga des Rougon-Macquart
Auteur : Emile Zola
Traducteur : /
Editeur : Flammarion
Collection GF
Nombre de pages : 453
Résumé :
Le héros est Aristide Saccard, frère du ministre Eugène Rougon, qu'on avait déjà vu amasser une fortune colossale dans la Curée. Après une succession de mauvaises affaires, il doit repartir de zéro, mais son ambition est demeurée intacte...

Et oui, encore un Zola... Que voulez-vous, j'adore cet auteur, tout simplement. Aussi, j'avais emprunté celui-ci à la médiathèque, et, ayant vu qu'il reprenait le personnage de La Curée, mon dernier Zola en date, une sorte de suite directe de l'autre. Du coup, il me paraissait évident que ce soit mon prochain Zola.

Comme à chaque fois, j'ai été totalement séduite par la plume de Zola. J'ai vraiment l'impression de me répéter à chaque fois, mais vraiment, je la trouve juste extraordinaire. Extrêmement riche, travaillée, ciselée. On a une impression de raffinement et d'authenticité. De plus, la technique est vraiment hallucinante ; les figures de style sont légion et sont vraiment bien employées. Je trouve la manière de personnifier des objets ou des lieux ( ici, la Bourse ; par exemple, dans La Bête Humaine, c'est la locomotive ) pour en faire des symboles est tout simplement admirable.

Encore une fois, j'ai retrouvé le monde de la Bourse. C'était passionnant de suivre la naissance du capitalisme, fascinant de se dire que c'est toujours la même chose, en substance, avec pour seule différence l'absence d'Internet et des technologies. J'avoue, j'ai parfois eu un peu de mal à suivre les transactions décrites, n'étant pas franchement une experte en la matière, mais en même temps il n'était pas compliqué de deviner que c'était plutôt illégal...
Encore une fois, j'ai appris beaucoup de choses grâce à ce roman, et pas seulement en terme de données historiques, et, franchement, c'est un gros atout.

L'intrigue est passionnante, très addictive. Encore une fois, j'ai été totalement emportée, prise dans l'histoire. Ca ne s'arrête pas une seconde, tout est soigneusement construit pour tenir le lecteur en haleine... jusqu'à la fin, impossible de s'en détacher. Mais surtout, la vraie force de cette histoire, des autres histoires de Zola, c'est qu'elles suscitent des questions. Des questions profondes, vraies, sur qui nous sommes et pourquoi nous sommes ici. Peu de livres ne me font autant réfléchir, avec autant de profondeur, et c'est aussi pour cela que j'adore Zola.

Les personnages sont une fois de plus extrêmement intéressants à voir. Ils sont très finement décrits, très diversifiés ; ils représentent bien, plus que l'ensemble de la société, l'ensemble de l'humanité. C'est un véritable tour de force, de la part de Zola, de saisir de cette manière l'essence même de la nature humaine, dans toute sa diversité, toutes ses nuances, et de la distiller page par page. C'est une des choses qui me rend tellement admirative de Zola. Chacun des personnages est un miroir d'une fraction de nous-mêmes, un miroir de l'humanité, et je trouve ça réellement génial.

Encore un coup de coeur ( mais vous vous en doutiez ) pour ce nouveau Zola, mon neuvième Zola et mon huitième de la saga des Rougon-Macquart. Tout y est. Tout y reste.

La Faucheuse, tome 1

Titre : La Faucheuse

Tome 1

Auteur : Neal Shusterman

Traducteur : Cécile Ardilly

Editeur : Robert Laffont

Collection R

Nombre de pages : 491

Résumé : 

Les commandements du Faucheur :

Tu tueras.

Tu tueras sans aucun parti pris, sans sectarisme et sans préméditation.

Tu accorderas une année d'immunité à la famille de ceux qui ont accepté ta venue.

Tu tueras la famille de ceux qui t'ont résisté.

Celui-là, ça ne faisait pas non plus hyper longtemps qu'il dormait dans ma PAL... l'envie de le lire était vraiment forte, ce qui a fait qu'il n'a pas longtemps traîné. En effet, dès que des photos ont commencé à apparaître sur Twitter, avant même sa sortie, il a piqué mon intérêt. Partant de là, impossible de me le déloger de la tête, jusqu'à ce que je craque. J'avais vraiment, vraiment envie de le lire, tout en ayant au fond un peu peur d'être déçue... Alors, le verdict, le voici !

Je n'avais pas tout de suite fait attention au nom de l'auteur, mais, quand je l'ai vu, j'ai immédiatement reconnu l'auteur La Trilogie des Illumières, une magnifique découverte. J'avais vraiment adoré cette trilogie, dont je me rappelle toujours avec précision, et j'étais plus que ravie de voir ce nom réapparaître.

Dans La Trilogie des Illumières, j'avais parfois eu un peu de mal avec la plume de l'auteur, parce que, bien qu'elle ait des qualités, je la trouvais pas assez riche concernant les émotions des personnages. Là encore, j'ai été un peu déroutée par cette plume ; je ne m'attendais pas à cette écriture pour ce roman précis. Je ne sais pas comment formuler cette impression ; sans doute, je m'attendais à un récit à la 1ere personne, ou alors, il n'y a un je ne sais quoi dans cette plume qui m'a déroutée... mais passé la première vingtaine de pages, je m'y suis faite et j'ai trouvé en fait cela très bien joué, une originalité indéfinie qui est vraiment intéressante et qui joue un rôle, indéniablement, dans le charme de ce roman.

Les personnages principaux ont tout de suite provoqué, de même, des sentiments très contrastés en moi. Citra, au début, m'a fortement déplu, mais très vite la tendance s'est inversée, et j'ai fini par adorer le personnage. Rowan, quant à lui, m'a immédiatement séduite, et c'est une impression qui ne s'est pas démentie, tout au long du roman. J'ai immédiatement adoré, également, Maître Faraday, c'est typiquement le genre de personnage qui me plaît et me touche toujours énormément. Dame Curie a aussi ravi mon coeur... dans l'ensemble, ce sont des personnages très profonds, qui se posent beaucoup de questions, et qui sont vraiment plaisants à suivre et à voir évoluer. Rien à redire sur ce point-là non plus, donc.

L'intrigue est vraiment, vraiment addictive. Impossible de lâcher ce roman. Vraiment, c'est juste de la dynamite. Les mots coulent, les pages se tournent sans que jamais notre attention soit détournée, dès que j'avais une minute à moi je reprenais ma lecture, tant j'étais happée... Jusqu'au bout, j'ai été suspendue aux mots de l'auteur ; il y a vraiment un charme puissant qui se dégage de cette histoire.

Mais vraiment, le plus gros plus de ce livre, son plus gros atout, à mon avis, c'est l'univers construit. C'est juste incroyable, parce que l'auteur parvient à nous faire vraiment réfléchir en profondeur sur notre vie, sur nous, et, comment dire... vraiment, cet univers est tellement riche, tellement bien construit, tellement original, déroutant... je n'ai même pas de mot pour dire à quel point j'ai adoré.

Comme je l'espérais, cette lecture fut un gros coup de coeur. Rien à redire, ce livre est parfait ! Mais le plus gros atout reste pour moi l'univers qui m'a tellement, tellement conquise...

Eternels, tome 2 : lune bleue

Titre : Lune bleue
Tome 2 de la série Eternels
Auteur : Alyson Noël
Traducteurs : Laurence Boischot et Sylvie Cohen
Editeur : Michel Lafon
Pas de collection particulière
Nombre de pages : 315
Résumé :
 La vie souriait enfin à Ever. Après six siècles d'attente, Damen et elle étaient désormais réunis. Mais un jour celui-ci ne la regarde plus. Pourquoi semble-t-il avoir tout oublié de ce qu'ils étaient ? L'arrivée au lycée de Roman, un étrange étudiant que tous semblent apprécier, aurait-elle un lien avec ce cruel changement ?
Prête à tout pour sauver son amour, Ever explore son nouveau monde, l'Ete perpétuel. Elle y découvre le secret de Damen-une sombre histoire qu'il espérait lui cacher. Elle apprend aussi l'existence d'un mystérieux portail qui apparaît au moment de la lune bleue et permet de circuler à travers le temps.
Or la lune bleue approche... Ever doit alors faire face à un choix déchirant : revenir dans le passé pour ramener sa famille à la vie, ou rester dans le présent et sauver Damen.

J'avais quitté le premier tome en demeurant assez mitigée : cependant, je voulais vraiment voir ce que cela pouvait donner, si cela pouvait s'améliorer. J'espérais que cela changerait, cela évoluerait, que ce serait moins... cliché. Bref, j'espérais que cette saga remonterait dans mon estime.

Hélas... hélas... côté personnages, ça n'a pas été ça. C'était même encore pire. Tous les personnages m'ont paru tellement cliché ! Et si encore c'était des clichés revisités avec goût, explorés soigneusement, de telle manière qu'on est la sensation d'être face à des personnages profonds... pourquoi pas ! Mais là, en plus, les personnages sont plats, fades, sans intérêt. Ils n'ont aucune profondeur, ils sont tout simplement plats et fades. Mon opinion n'a aucunement évolué, sur aucun d'eux, à part Haven. En effet, dans ce second tome, encore plus que dans le premier, la façon dont elle est traitée par l'auteur m'a réellement exaspérée, parce qu'elle est sensée être l'amie d'Ever et elle est juste mesquine, insupportable, inintéressante... enfin, elle était vraiment, vraiment insupportable, encore plus que dans le premier tome. Quant à Roman, nouveau personnage de ce tome, il ne sert qu'à remplacer Drina pour le côté opposant. Il ne possède rien de plus, et c'est exaspérant.

La plume est toujours aussi fluide, le livre se lit extrêmement vite aussi. Encore une fois, le style de l'auteur ne m'a pas vraiment dérangée, mais j'ai regretté qu'il ne soit pas plus élaboré, plus travaillé, car cela aurait vraiment apporté un plus à cette série, ça l'aurait distingué d'autres séries et aurait compensé les points négatifs... là, franchement, rien d'inoubliable, la marque de l'auteur est vraiment transparente et c'est vraiment dommage.

Côté intrigue, contrairement à la première fois, je me suis un peu ennuyée. Bien que la lecture soit rapide, je me suis plusieurs fois demandé si je ne ferais pas mieux d'arrêter. J'ai fini ( et je le regrette, je trouve cette fin tellement... nulle ! ) mais, franchement, à mes yeux ce livre a perdu un des seuls, voire le seul atout qu'il possédait et c'est vraiment dommage. Même l'univers, qui a commencé à révéler ses particularités par rapport à Twilight, m'a paru fade et inintéressant... Bref, un ennui général s'est dégagé de cette lecture, et je l'ai terminée à grand peine.

Une lecture encore plus décevante que la première fois, je ne pense pas continuer cette série qui a rapidement perdu tout son intérêt à mes yeux... dommage, mais bon, tant pis.

1/5

Bilan du mois d'avril 2017

Coucou !
Une fois n'est pas coutume, je vous propose le bilan du mois pile le bon jour, le premier... oui, parce que, je ne sais pas si vous avez remarqué, ces derniers temps c'était beaucoup plus tard que ça...
Donc donc donc. Le mois d'avril est vraiment passé vite, et à vrai dire, c'était un mois tellement bizarre que bon... J'ai pourtant bien commencé avec un voyage en Italie, durant une semaine, puis j'ai enchaîné avec les vacances. Néanmoins, un petit souci dont je ne préfère pas parler ici s'en est mêlé, et ma rentrée, la semaine dernière, a été un véritable enfer ( je vous parle même pas de mon oral blanc de français... )... mais j'ai terminé le mois sur une note positive : en effet, samedi, j'étais en compétition. Et, comme la dernière fois, mes temps ont re-décollé, je les ai amélioré malgré tout... du coup, je suis vraiment super heureuse, je pense pouvoir finir cette saison-ci sur une bonne note si tout continue comme ça, et ça me rend très heureuse !
Bref, j'ai fini de raconter ma vie, je passe aux livres !

Les coups de coeur :

5/5 :

4/5 :

3/5 :

2/5 :

1/5 :

/

Les livres du mois :

Comme vous pouvez le constater, ce mois-ci, j'ai eu beaucoup, beaucoup d'excellentes lectures, quelques coups de coeur et bonnes lectures, et juste une lecture mitigée et une lecture mauvaise. Certes, ces deux derniers mois il n'y en avait pas, mais bon cela reste un bon mois niveau qualité.

Niveau quantité, c'est aussi un très bon mois, j'ai beaucoup lu grâce aux vacances : 16 livres, rien que ça ! J'ai lu aussi 6 classiques dans le lot, soit 37,5 % : je continue à lire beaucoup de classiques, et c'est bien !

Sur ce, je vous laisse, en vous souhaitant un bon mois de mai !