Me revoilà pour la deuxième ( et dernière ) partie de ce premier chapitre !
Pour le chapitre deux, c'est sur le blog de Sandrine que ça se passera !
Tous les liens se trouvent en fin d'article ! :)
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Le
lendemain matin, le réveil me tire des limbes du sommeil et je me
hâte de me rendre à la salle de bain attenant à notre dortoir. Les
deux cabines de douche sont prises, mais de toute façon je préfère
me doucher le soir. Je me débarbouille puis je retourne au dortoir
pour enfiler l'uniforme. Noémie s'habille aussi et elle me sourit.
– Bien
dormi, Lilou ?
– Oui,
et toi ?
– Super.
C'est vraiment génial d'être de retour à Poudlard, non ?
– Si.
Elle
me sourit de nouveau. Je ne sais pas trop quoi dire, mais je ne veux
pas m'en aller maintenant.
– Et...
euh... ça va bien, avec Evan ? Vous êtes ensemble depuis
avril, c'est ça ?
– Oui,
c'est ça. Et... bah... ça se passe bien.
Je
remarque son ton peu convaincu, mais je ne préfère pas insister.
– Bon,
tu viens, on va déjeuner ?
– Mais...
je réponds, surprise. Tu n'attends pas Claire et Nora ?
– Pas
la peine, elles mettent toujours trois heures sous la douche. Et
puis... elles me soûlent un peu, pour être franche. Je n'ai plus
l'impression d'avoir autant d'atomes crochus avec elles, je ne nous
trouve plus beaucoup de points communs...
– Ah.
Ok.
Donc
nous descendons. Arrivées à table, Noémie se sert une bonne
portion d'oeufs brouillés. Moi, j'hésite avant de me servir, et
j'opte finalement pour des toasts.
Le
professeur Flitwick passe dans les rangs avec les emplois du temps.
Il est si petit qu'on le voit à peine, et il se fait taquiner par
plusieurs élèves : c'est plutôt bon enfant ! Je souris,
attendrie. J'adore notre directeur de maison.
Je
me saisis du mien et le sonde du regard : il est plutôt cool. A
côté de moi, Noémie hoche la tête d'un air appréciateur, avant
d'examiner de plus près les cours du vendredi :
– Oh
non, on a potions et histoire de la magie aujourd'hui !
– Oui,
mais on a aussi arithmancie et sortilèges. C'est pas tes matières
préférées ?
– Oui,
certes... Mais regarde le mardi ! Botanique, soins aux créatures
magiques et potions, tout ce que je déteste ! Et heureusement
que je n'ai pas pris runes comme toi !
A
ce moment, Claire et Nora débarquent.
– Pourquoi
tu nous as pas attendues, Noémie ?
– Désolée,
mais vous êtes trop longues, les filles... Et j'avais vraiment trop
faim.
Mais
Noémie n'a pas vraiment l'air désolée.
– C'est
bon, ça ne te posait pas de problèmes, avant !
– Mais
aujourd'hui, ça m'en pose, d'accord ?
Le
ton est clairement agressif et les deux filles se taisent. Noémie
fait presque peur quand elle est énervée : ses yeux bleus
lancent des éclairs. Je l'ai très rarement vue comme ça...
Puis
elle reprend sa discussion sur l'emploi du temps avec moi, comme si
rien ne s'était passé... Claire et Nora me fusillent du regard
avant de s'installer et de se mettre à chuchoter entre elles. Si
Noémie les ignore superbement, je ne peux m'empêcher de leur jeter
des regards en coin. Elles ne cessent de me regarder et je crois
qu'elles parlent de moi...
La
journée s'écoule normalement pour un jour de rentrée. Nous
attaquons par potions, en cours commun avec les Poufsouffle, et
évidemment, le professeur Rogue commence en nous demandant de
réaliser une potion difficile : la philtre de Paix. Comme
d'habitude.
Je
me suis mise à côté de Noémie, alors que Claire et Nora se sont
mises ensemble, juste à côté. Plus on parle, plus je me dis
qu'elle est vraiment gentille, qu'on s'entend bien. Apparemment, ce
n'est pas du goût des deux filles.
Je
me concentre sur la potion. Rogue veut un échantillon de la potion à
la fin du cours pour la noter comme si on était aux BUSES.
Fondamentalement, c'est une bonne idée. Je ne l'aurais pas fait dès
le premier cours, mais, c'est Rogue, après tout...
J'adore
les potions. Je trouve que c'est un art passionnant, délicat et
précis, et à chaque cours, malgré la difficulté, je m'éclate.
J'ajoute l'essence d'éllébore et remue. Une délicate fumée grise
s'élève, comme prévu. Je souris. Vraiment, j'adore les potions.
Les ingrédients semblent m'appeler, et parfois je me permets de
m'écarter un peu du livre. Le résultat est toujours à la hauteur
de mes efforts.
Je
jette un coup d'oeil à la potion de Noémie. Au lieu d'être, comme
elle le devrait à ce stade, d'une couleur bleu très clair, elle est
violette. Ma voisine peste et jure entre ses dents, et il me semble
entendre un « Quel enfoiré ! » manifestement dirigé
contre notre prof qui passe entre les rangs comme une chauve-souris
gigantesque, en distribuant des remarques acerbes à droite et à
gauche. De toute façon, aucun élève ne trouve grâce à ses yeux
s'il n'est pas soit exceptionnellement doué, soit de la maison
Serpentard, et c'est encore pire pour les Gryffondor...
Même
si c'est un bon prof, ça reste un vieux con aigri.
A
la fin du cours, après avoir rendu mon échantillon et avoir noté
tous les devoirs, je range mes affaires. La cloche sonne et les
élèves commencent à sortir du cachot, la plupart se ruant
littéralement dehors. Moi, je traîne un peu. La majorité de mes
camarades de classe sont déjà sortis lorsque le nouveau, Isaac
Bellington, entre dans le cachot. Rogue, qui classait les
échantillons, lève la tête et le contemple d'un air un peu
méfiant.
– Professeur,
comment Bellington en arrivant à sa hauteur. Je crois que vous
connaissiez mon père... Il... Votre nom figure dans un document que
j'ai trouvé... Quand il est mort...
Rogue
le contemple sans un mot, puis sonde la salle du regard, m'aperçoit.
Le nouveau suit son regard et ses yeux me transpercent.
– Sowel,
dehors, s'exclame-t-il sèchement.
Je
rougis et m'empresse de filer. J'ai l'impression d'avoir été prise
en train d'espionner... En même temps, je ne peux m'empêcher de
réfléchir sur ce que je viens d'entendre : pas grand chose.
Mais apparemment, le nouveau est orphelin, au moins de père...
Je
suis à peine sortie de la salle que j'entends le directeur des
Serpentard dire sèchement :
– Faites
attention à ce que vous dites, Bellington. Ce ne sont pas des choses
que l'on braille dans les salles encore pleines.
Je
me fige, un instant tentée par la possibilité d'écouter aux
portes, mais je me retiens. Je n'ose imaginer la réaction du vieux
s'il me surprend.
Ça
y est, nous sommes déjà en week-end, mais j'ai déjà énormément
de devoirs et la tête farcie par les discours sur les BUSES que tous
les profs nous ont immanquablement sortis. La charge de travail
promet d'être importante, cette année, mais je m'y attendais un
peu. Même le professeur Flitwick, plutôt permissif et relâché,
nous a bassiné avec cet examen pendant une demi-heure, avant de nous
coller une dose de devoirs qui égale celle que nous a donné Rogue,
lui qui en donne toujours un peu moins... Mon sac pèse lourd sur mon
épaule et les le flot des élèves me bouscule de toute part.
– Eh,
Lilou, attends !
Je
me retourne. Rachele Scott-Page m'a interpellée et fend la foule
d'élèves pour me rejoindre.
– Tu
sais que je suis capitaine de l'équipe, cette année ? me dit-elle
en parvenant à ma hauteur.
– Oh,
félicitations !
Je
suis vraiment contente pour elle. Rachele le mérite, c'est vraiment
une excellente joueuse, une Poursuiveuse très talentueuse. Elle est
en 7eme année et je sais qu'elle rêvait de ce poste. C'est une amie
de Léna, aussi.
Moi
aussi, je joue au Quiddich. Comme Attrapeuse. Je ne me considère pas
comme exceptionnelle : je fais ce qu'il faut, j'ai de bons yeux,
je suis assez rusée, et j'aime voler. Je suis entrée dans l'équipe
en 3eme année, et je ne l'ai plus quittée. Noémie joue aussi,
comme Poursuiveuse.
– Donc,
comme Théophile et Charles sont partis, on a plus de batteurs. Et
Marissa vient de m'annoncer qu'elle ne veut plus jouer, elle veut se
consacrer à ses ASPICS... Donc il nous manque trois joueurs, deux
batteurs et un gardien. J'organise des essais samedi prochain, j'ai
déjà réservé le terrain. Tu viendras, d'accord ? Il faut
trouver des gens qui aillent à tout le monde.
– Pas
de problème. Tu me rediras l'heure ?
– Oui,
oui. Tu en parles à Noémie ?
– T'inquiète,
je vais le faire.
– Bon,
cette année, on veut la coupe, hein ?
– Oui,
et on va l'avoir. En tout cas, on va se défoncer pour.
– Ouais...
Elle
me sourit. Rachele adore le Quiddich, elle est vraiment talentueuse.
Je crois qu'elle cherche à intégrer une équipe professionnelle.
Enfin, il me semble. Je ne doute pas qu'elle réussisse, en tout cas.
Je
regagne la tour des Serdaigle. Ma besace que j'utilise pour les cours
est pleine à craquer. Mon emploi du temps assez aéré et bien
disposé va bientôt être envahi par les heures de révision,
d'autant plus que les entraînements de Quiddich, c'est cinq heures
par semaine...Et les engagements de préfet... Heureusement que je
suis assez organisée, parce que sinon, je risquerais de couler.
En
tout cas, je pense travailler un peu dans la soirée, et puis demain.
Comme nous n'avons eu qu'une journée de cours, je ne suis pas non
plus surchargée, je pense avoir mon dimanche libre. Enfin, j'espère.
C'est
là que je me rends compte que j'ai oublié mon agenda, un carnet en
cuir assez épais, dans la salle de sortilèges. Il faut que j'y
retourne, en priant pour qu'il y ait toujours quelqu'un. Je retourne
sur mes pas. Les couloirs sont un peu moins bondés et je vais plus
vite. La porte de la salle est fermée, alors je frappe. Le
professeur Flitwick m'ouvre.
– Mademoiselle
Sowel, vous désirez ?
– Oh,
excusez-moi de vous déranger, professeur, mais j'ai oublié mon
agenda et...
– Ah
oui, j'en ai trouvé un tout à l'heure. Entrez, il est sur mon
bureau...
Avec
soulagement, je me saisis du carnet, puis ressors :
– Merci,
professeur.
– Pas
de problème, jeune fille ! Bonne fin d'après-midi !
– Merci,
vous de même.
Je
repars en sens inverse, et décide d'emprunter un raccourci pour
retourner à la tour. Je tourne pour arriver dans un couloir désert,
qui, plus loin, fait un brusque virage en angle droit. C'est alors
que j'entends de brusques éclats de voix.
– Putain
mais t'as peur de quoi ? T'es qu'une chochotte !
– Ecoute,
je ne me sens pas prête. Je veux être certaine que... tu es le bon.
– C'est
quoi ce romantisme à deux sous ? Ça te gênait pas pourtant de
peloter, ton dernier petit copain...
– Mais
je ne l'ai jamais fait avec lui non plus !
– Mais
oui c'est ça ! Je sais quand tu mens, Noémie...
Noémie !
Et la deuxième voix doit appartenir à son petit ami... Je me fige,
n'osant aller plus loin.
– Mais
c'est pas vrai, je te jure !
– C'est
ça ! T'es qu'une salope, Noémie, une putain de salope !
– Retire
ce que tu viens de dire, ou je...
Baam !
J'entends un coup sourd et un cri de douleur.
– Quand
je pense que j'ai fait tout ça pour coucher avec toi ! Tu me
dégoûtes, espèce de pétasse ! Je suis pas assez bien pour
toi, c'est ça ? Connasse !
Un
autre coup. Ce coup-ci, je n'hésite plus et me précipite, baguette
brandie.
– Stupéfix !
Evan
Kudzin se fige, et lâche la baguette dont il menaçait Noémie.
Celle-ci est affalée contre le mur, le visage crispé de douleur. Je
me précipite vers elle.
– Ça
va ? Tu veux aller à l'infirmerie ?
– Non...
ça va... Ma baguette...
– C'est
celle qu'il tenait ?
Elle
acquiesce et je vais la ramasser pour lui rendre. Je l'aide à se
remettre debout et elle grimace de plus belle, avant de s'appuyer sur
moi.
– Tu
es sûre que tu...
– C'est
bon, c'est juste le choc, ça va passer... Je vais déjà... un peu
mieux.
Nous
quittons le couloir sans un regard en arrière pour Kudzin. De toute
manière, quelqu'un finira par le trouver.
La
tour des Serdaigle me paraît infiniment plus loin que d'habitude,
mais nous finissons par y arriver. Lorsque nous entrons, tout le
monde se tourne vers moi, mais j'ignore du mieux que je peux les
regards et vais installer Noémie dans un fauteuil à l'écart.
Claire et Nora se précipitent.
– Noémie,
est-ce que ça va ? Que s'est-il passé ?
– Non...
Et il s'est passé que entre Evan et moi, c'est fini.
Les
deux se regardent, interloquées.
– Mais...
– Laissez-la
récupérer, les filles, j'interviens.
Elles
me jettent le même regard avant de tourner les talons... Je me
tourne vers Noémie.
– Que
s'est-il passé ? je murmure.
– Je...
Depuis cet été il... il a commencé à me mettre la pression...
pour coucher... et je n'ai jamais cédé... J'imagine qu'il ne tenait
plus...
Et
elle éclate en sanglots. Maladroitement, je la sers contre moi pour
la consoler.
Au
dîner, j'aperçois Evan à la table des Gryffondor. Il discute avec
animation avec sa bande habituelle d'amis, celle de Noémie,
Gryffondor, Serpentard et Serdaigle mêlés. Lorsque nous entrons,
Noémie et moi, ils se tournent vers nous, mais je ne suis pas la
cible des regards.
Tous
ceux qui n'appartiennent pas à la maison Gryffondor regagnent
ensuite leurs places, non sans passer devant Noémie et lui lancer un
regard méprisant. Claire et Nora s'installent le plus loin de
possible de nous, mais parlent suffisamment fort, sans discrétion,
si bien que nous ne ratons pas une miette de ce qui se dit. Les
insultes pleuvent sur ma compagne qui ne dit rien et mange sans
appétit.
– Le
salaud. Il a été raconter que...
Je
bouille intérieurement mais Noémie me fait taire d'un geste. Elle
semble lasse.
– Depuis
toutes ces années, je le savais. Je savais bien que ça finirait par
se retourner contre moi... Et ça a fini par arriver. Rien de grave.
– Rien
de grave ?
– Ils
n'ont jamais été de vrais amis, Lilou. Je le savais et j'ai choisi
de l'ignorer. Maintenant, il y a une rumeur qui va se propager dans
toute l'école, mais tant pis. J'en ai marre, de faire semblant.
– Mais
il faut l'empêcher de se propager, tu ne peux pas...
– Je
m'en fous. Qu'on dise ce qu'on veut. Tant qu'au moins une personne
sait la vérité...
Elle
me regarde. Je la regarde. Elle me sourit timidement, et je lui
souris en retour.
Le
lendemain, Noémie et moi nous rendons à la bibliothèque tout de
suite après le petit-déjeuner pour entamer notre pile de devoirs.
Je lis trois fois ma page d'agenda, découragée. Rogue veut une
dissertation sur le Philtre de Paix et la façon dont l'essence
d'éllébore l'affecte, plus une autre sur les difficultés de cette
potion et les étapes qui pourraient la faire rater. Flitwick demande
une dose incroyable de choses à faire, tout comme le professeur
Vector en arithmancie. Quant à Binns, il demande la même dose que
d'habitude, mais de toute façon, ce fantôme est complètement
coincé.
Je
décide de commencer par les potions, et m'absorbe dans mon manuel à
la recherche d'informations. A ce moment une boule de papier me
frappe dans le dos. Je jure, me retourne brusquement : personne.
Je me retourne, déplie la boule sous le regard intrigué de ma
compagne de travail, qui avait l'air plus intéressée par son
dernier roman en cours que par le manuel de sortilèges qu'elle
épluchait.
C'est
un extrait de magazine moldu, sur papier glacé. 15 astuces pour
maigrir cet été. Je rougis violemment alors que la colère monte en
moi.
– Laisse,
elles t'agressent parce qu'elles ne supportent pas l'idée que tu
prennes leur place, c'est tout. Faut les ignorer. Et puis, crois-moi,
t'es pas grosse...
Mais
la colère m'envahit et je me lève brutalement, pour me diriger dans
les rayonnages les plus proches. Evidemment, les deux pestes sont là,
faisant mine d'être absorbées par leur livre.
Je
reste cachée derrière un rayonnage. Un petit maléfice bien placé,
dans le dos comme ce qu'elles font aux autres. Je réfléchis un peu,
puis trouve : un sortilège d'Engorgement fera l'affaire.
– Amplificatum !
Le
résultat ne se fait pas attendre et je m'éclipse en pouffant, ma
colère un peu retombée. La bibliothécaire les fera rouler jusqu'à
l'infirmerie, j'imagine. En tout cas, il y a du monde dans la
bibliothèque, et dans les couloirs : elles ne passeront pas
inaperçues.
Je
sais que en faisant ça, j'ai déclenché la guerre. Je sais que je
me suis vengée...
Mais
leurs attaques me reviennent sans cesse en mémoire. Et tout le
reste, la discussion mystérieuse entre Rogue et Bellington, Kudzin
et Noémie, tout ça me sort de la tête.
Grosse
grosse grosse.
C'est
le dimanche 4 septembre, le lendemain, qu'une élève de première
année affirme avoir vu quelque chose rôder autour elle la nuit
précédente, dans le noir. Une ombre mise en échec par la lumière
qu'elle a brusquement allumée.
Une
chose qui tentait de la capturer.
Mais
rien d'autre ne se passe et il n'y a aucune suite. Je ne prête pas
d'attention à cette histoire, et la rumeur aussi retombe rapidement,
aussi vite qu'elle a commencé.
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Voilà, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ! :)
Donc, voici les liens :
Première partie : ici
Chapitre 2 ( Sandrine ) : à venir
Purée, je crois que je ne vais pas me lasser de sitôt de vos petites aventures !
RépondreSupprimerMon nom est Amanda Mazzei De New York, je l'ai lu quelques témoignages sur un lanceur amour sort sur la façon dont il a aidé beaucoup de gens à ramener leurs anciens amants dans les 48 heures, Sincèrement, je pensais juste si cela était réel et si cet homme pouvait vraiment aider à ramener mon amant que j'aime tellement. Je décidai de le contacter parce que j'aime mon partenaire beaucoup et nous avons été séparés pendant quelques mois je lui ai vraiment manqué tellement, je l'ai essayé tous les autres moyens de le faire revenir, mais ne pouvait pas. J'ai contacté: drotutuhealinghome@hotmail.com et il m'a dit que mon partenaire va revenir à moi dans les prochaines 12 heures, DR otutu l'a libéré jusqu'à savoir combien je l'ai aimé et lui a voulu revenir. Et a ouvert ses yeux à l'image combien nous avons part together.with l'aide du Dr otutu nous sommes heureux retour again.As I`m écrit ce témoignage en ce moment I `m la plus heureuse des femmes sur la terre la, moi et mon partenaire vivent une vie heureuse et notre amour est plus forte que la façon dont il était avant même pause up.All merci à DR otutu pour le travail excessif qu'il a fait pour moi en me aidant à revenir avec mon partenaire. Je voudrais déposer l'adresse mail de DR et espérons que vous voyez ce témoignage et contactez-le si vous avez un amant que vous voulez vraiment de retour si mal, Son email drotutuhealinghome@hotmail.com) ou NUMBER WHATS-APP: 2349051417394
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