Titre : The Fault in Our Stars
Auteur : John Green
Traducteur : /
Lecture en VO
Editeur : Penguin books
Pas de collection particulière
Nombre de pages : 312
Résumé :
Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
J'ai lu Nos étoiles contraires il y a à peu près 2 ans, et cela avait été un vrai coup de coeur. Comme je l'ai vu en anglais à la médiathèque, j'ai sauté sur l'occasion pour le relire, et retomber amoureuse de ce bouquin ( et d'Augustus ).
Je me suis tout de suite replongée dans l'histoire aux côtés d'Hazel et d'Augustus. Deux adolescents, chacun avec une histoire avec le cancer. Deux personnages complexes, touchants, intelligents, pleins de vie, émouvants, réels à vous retourner les tripes. J'avais l'impression d'être dans la tête d'Hazel, de voir Augustus à travers ses yeux, entendre leurs dialogues... Ils auraient pu être réels, et ils sont magnifiques, tellement vivants.
Isaac me fait également énormément rire, il est tellement attachant...
L'intrigue nous entraîne avec les personnages, dans leur vie, avec ses hauts et bas. Oui, ce livre parle merveilleusement bien de la vie, on y est scotché du début à la fin...L'histoire est tellement drôle, émouvante...
Le style de l'auteur, du John Green pur, est magnifique, très belle, très touchante. C'est en partie grâce à sa plume qu'on pénètre ainsi dans les pensées d'Hazel.
Un magnifique roman sur la vie, des personnages magnifiques, presque réels, une plume magnifique : c'était mon premier John Green, et c'était un vrai coup de coeur, encore une fois, entre le rire et les larmes/
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